Quand on reçoit un email, seuls 2 éléments sont souvent visibles dans notre gestionnaire d’emails : l’expéditeur (nom ou adresse email) et le sujet de l’email. Que l’on connaisse ou non l’expéditeur, le sujet de l’email va fortement contribuer à ce que le message soit ouvert, lu ou supprimé. Le sujet est donc primordial pour votre marketing. Dans cet article, nous nous concentrerons sur la taille du sujet.
Vous connaissez sans doute cette expression légendaire. Pourtant, en email marketing il a été prouvé que la taille du sujet pouvait influencer les taux d’ouvertures.
Statistiques fournies dans un livre blanc proposé par Edatis. |
Statistiques issues de la base de données de SG Autorépondeur. |
Ces taux d’ouvertures peuvent être influencé par le fait que votre sujet n’est pas entièrement visible en fonction de la messagerie utilisée par votre destinataire. Même si techniquement la taille d’un sujet peut aller jusqu’à 998 caractères et que la norme RFC 4096 ne recommande pas de dépasser 78 caractères, la limitation s’impose surtout à cause de la réception du message et selon les clients de messagerie utilisés.
Une récente étude de http://www.emarketer.com/ nous apprend que plus de 36% des emails sont aujourd’hui consultés par des smartphones, ce qui limite encore les capacités d’affichage de l’ensemble du sujet.
Résultats des tests proposés par emailaddressmanager.com
Du côté des fournisseurs de messagerie français :
[list style= »check »]
Parmi les emails rédigés par nos clients sur SG Autorépondeur, la moyenne totale de tous les sujets analysés est de 45 caractères mais 35.5% font 50 caractères ou plus. Le sujet le plus petit fait 3 caractères tandis que le sujet le plus grand fait 193 caractères.
Bonjour,
En lisant votre commentaire, je me demande si vous avez bien compris l’article, ou bien formulé ce que vous vouliez dire.
Car si le sujet passe effectivement avant tout, il me semble que vous y allez un peu fort en disant que « la taille n’a aucune importance ».
Amicalement,
JD
Bonjour,
Merci, pour toute l’aide que vous nous apportez, c’est vraiment très utile, surtout quand on patauge un peu avec la technique, comme moi, et que le temps est compté .
Bien cordialement
Bernadette
Bonjour Sébastien,
merci de nous faire partager ses statistiques très intéressantes, concernant la longueur du sujet. Mais il est aussi une chose très importante également, à ne pas oublier, c’est la qualité du sujet. Il doit savoir vendre l’ouverture et la lecture du mail.
Le sujet se transforme ainsi en accroche. Mais tout cela, vous le savez déjà…
Merci pour l’excellente qualité de vos services. 🙂
Albin
Bonjour à tous,
Petite réflexion sur la taille de l’e-mail.
Pour ma part, je dirais que cela dépend du contenu de notre e-mail.
Si celui-ci est composé à plus de 50 % de texte (ce qui est souhaitable) le sujet de l’e-mail peut-être au cours.
Si au contraire celui-ci est composé d’une seule et unique image (à proscrire) il est préférable que le sujet de l’e-mail soit suffisamment explicite.
note : Je pense que beaucoup d’internautes sont très méfiants lorsqu’ils reçoivent un e-mail composé d’une image unique. Pour ma part la première chose que je fais c’est de regarder le « code source » pour essayer de deviner quelle est l’adresse expéditrice et s’il y a une adresse qui révèle un site Internet ou je pourrais me rendre sans passer par le clic sur l’image contenue dans l’e-mail, car tout le monde sait maintenant que le simple fait d’accepter une image informe l’expéditeur que vous avez pris connaissance du contenu de son e-mail. Il est ainsi informé de votre réactivité et si son e-mail en fin de compte est sur un sujet qui ne vous intéresse pas vous êtes piégé et bien souvent on reçoit de très nombreux e-mails par la suite.
Pour ma part, même avec une Newsletters composé que de texte, je préfère opter pour un sujet d’e-mails assez longs mais en privilégiant quelques mots-clés dès le début de celui-ci afin de donner à l’internaute une idée de ce qu’il va découvrir. Après, il y a toujours la possibilité de passer sa souris sur le sujet de l’e-mail pour le voir apparaître en totalité.
Il est à noter que si d’une part l’adresse d’expéditeur correspond bien à notre société et que d’autre part l’internaute a fait lui-même la demande de recevoir nos informations il y a des chances pour qu’il consulte le contenu de l’e-mail que nous lui envoyons, même en diagonale =:)
Merci Kevin pour cette idée, nouvelle pour moi, à savoir que ce qui est surtout important ce sont les premiers mots, (ceux qui s’afficheront quand même sur le smartphone).
Donner en 50 caractères seulement le sujet me semble parfois difficile. Or je voudrais quand même que le sujet donne une idée la plus claire possible du … sujet du mail 🙂
Bonjour,
Tout d’abord je vous remercie pour le partage de ces intéressantes statistiques.
je veux savoir s’il y a d’autres statistiques sur le pourcentage de la taille de la pièce jointe ou de la taille totale d’un email.
Cordialement
Leila
Bonjour
Je suis persuadé,qu’il y a de plus en plus de l’intérêt dans un envoi dans un mail (trop géolocalisé le besoin, à partir des diferents réseaux sociaux…) a respecter certains paramètres comme par exemple :
-avoir une connaissance précise ou au moins le plus proche possible des besoins du récepteur,afin d’avoir un bon taux d’ouverture !
-une accroche courte mais explicite du contenu.
-une nouveauté dans l’offre, qui va se démarquer de toute concurrence.
Bonjour,
Je suis nouvelle sur la plateforme de SG-autorépondeur (depuis deux semaines ) et je vous remercie pour la réactivité à mes demandes .
Pour en revenir au sujet « est-ce la taille qui compte ? »
je suis d’accord avec l’auteur : la taille n’a aucune importance, ce qui compte c’est l’importance .
Par exemple j’ai déjà envoyé des mails super instructifs à mes abonnés mais avec peu de retour.
En revanche, pour un mail qui les informait de date limite pour des démarches administratives, j’ai toujours de bons taux d’ouverture et surtout des mails de remerciement .
Cordialement,
Tia